SUD LANTON (Collectivités Territoriales)


La section syndicale qui n’attend pas les élections pour s’adresser à vous.

samedi 24 décembre 2011

SUD en conflit avec la mairie

Article paru ce jour (23 12 2011) dans SUD OUEST (ici)

 

 

 

 

 

 

 

Pour marquer son opposition, le syndicat SUD manifestait en mairie lors du dernier CTP. (photo dr)

Un conflit récurrent oppose le syndicat SUD à la mairie de Lanton, autour du Comité technique paritaire (CTP). Le syndicat, bien représenté parmi les membres du personnel, manifestait encore son exaspération contre « les dysfonctionnements » du CTP, à l'ouverture de la dernière réunion, le 9 décembre en mairie. Rappelons que le comité, composé à part égale de représentants des élus et des employés municipaux (3 titulaires et 3 suppléants de chaque), et élu en 2008, a vu en 2010 la démission globale du collège salarié pour désaccord sur son fonctionnement ou plutôt son non-fonctionnement, le CTP n'ayant pas été convoqué par le maire depuis 2009.


Or dans le cas de démission d'un salarié au CTP, la loi prévoit qu'un tirage au sort soit organisé au sein du personnel pour le remplacer et qu'en cas de refus de l'agent de siéger, un élu soit désigné à la place.
« Pas très démocratique » Une solution que le maire ne jugeait « pas très démocratique » et qui l'a conduit à multiplier les tirages au sort - cinq au total - avant de reconstituer le collège salarié. Or il s'agit ici d'une démission complète, pointe le syndicaliste responsable de la section et employé municipal, Dominique Brouch. Pour cela, celui-ci qui refuse le tirage au sort, dénonçant son absence de légitimité. De plus, les représentants sont « des gens de bonne volonté mais sans formation, sans d'argumentation étayée et qui ne posent pas les vraies questions. Le CTP est la seule instance représentative des salariés et cette situation arrange la hiérarchie », continue Dominique B, qui n'a pas voulu - jusqu'ici- aller au tribunal pour défendre la cause, argumentant : « C'est trop long et ça annulerait les précédents acquis notamment en terme d'avancements », mais met en avant le soutien du préfet. Quand le syndicat parle « d'irrégularité de la situation », la mairie répond « application de la règle » et qu'« on ne peut pas dire qu'un tirage au sort ne soit pas démocratique. Parmi les membres représentants des salariés il n'y pas de syndicalistes SUD. Nous n'avons aucune volonté d'isoler ce syndicat, mais c'est comme ça. Pour nous c'est terminé, la réunion du CTP a eu lieu et s'est plutôt bien passée ».
Or, autre problème, si le syndicat n'a pas de membres élus, il n'existe pas : « Tous nos droits en découlent », précise Domiique.B, une situation que ce syndicaliste élu régional et national n'accepte décidément pas.
Chantal Moreau

 

dimanche 20 novembre 2011

Solidaires 33/Sud

Des militants de Solidaires 33/Sud se sont rassemblés vendredi 18 novembre devant la mairie de Bordeaux  afin d'exiger que soient mis à disposition des locaux pour l'Union Syndicale Solidaires 33, à l'instar de l'ensemble des confédérations FO (1200 m²sur les quais face au tram), CFDT (1500 m² barrière st Genès), CGT et FSU (Bourse du travail).
Solidaires est maintenant et depuis de nombreuses années reconnue au niveau du Public comme du Privé. Il est donc légitime que nous soient maintenant attribués des locaux dignes de ce nom. Photos de ce rassemblement en attente de la réponse...




jeudi 20 octobre 2011

Il est où le déficit ?

clique sur l'image pour voir  le détail

samedi 1 octobre 2011

lundi 19 septembre 2011

Le hérisson de septembre (tract du CG33 )

Il est enfin en ligne en version PDF.
Télécharge-le !

vendredi 24 juin 2011

SCI "Solidair'Home"

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mardi 17 mai 2011

Vous voulez changer de cadre d'emploi sans changer de collectivité ? Ce sera bientôt possible.

Vous êtes secrétaire de mairie ... et le secrétariat vous sort par les yeux ? Vous voulez devenir policière municipale, et si possible sans déménager à l'autre bout du pays ? George Tron a une solution pour vous. Et accessoirement pour tous les agents territoriaux qui veulent travailler hors de leur cadre d'emplois.
Par une question parlementaire, le député Geneviève Colot (UMP, Essonne) a attiré l'attention du secrétaire d'Etat en charge de la fonction publique, Georges Tron, sur les conditions de détachement d'un agent au sein de sa propre commune. Le problème est le suivant : comment faire lorsqu'un agent titulaire d'une collectivité – par exemple un adjoint administratif – veut changer de métier et devenir agent de police municipale au sein de cette même collectivité ? Le décret du 13 janvier 1986 qui organise les détachements, disponibilités, positions hors cadre, etc. des fonctionnaires territoriaux interdit d'être détaché au sein d'une même collectivité (article 2). Comment faire alors, sans passer de concours, pour changer de métier ?
Dans sa réponse - qui intervient plus de trois ans après  que la question ait été posée - , le ministre de la Fonction publique conseille à la parlementaire (et aux agents concernés)… la patience ! En effet, la loi du 3 août 2009 relative à la mobilité et aux parcours professionnels dans la fonction publique a pour but de faciliter les changements de corps et de cadre d'emplois. Le décret du 13 janvier 1986 va donc être modifié. La suppression de l'interdiction de détachement au sein d'une même collectivité est prévue. Le Conseil d'Etat a d'ailleurs examiné ce projet de décret le 8 février dernier et a donné son aval. Le détachement au sein de sa propre collectivité sera donc possible dans les prochaines semaines. Attention tout de même à respecter les cadres d'emplois : ainsi, le détachement d'un agent au sein du cadre d'emplois de la police municipale nécessite un agrément préalable du procureur de la République. De plus, l'agent ne pourra revêtir effectivement l'habit de policier qu'après une formation de six mois validée par le Centre national de la fonction publique territoriale. Parce que, en dépit de la capacité d'adaptation  quasi illimitée des fonctionnaires, il arrive qu'il faille quelques compétences pour occuper tel ou tel poste.
Source : Site du syndicat sud ct mairie de Dunkerque .

dimanche 15 mai 2011

St Médard (33) - Assemblée Générale

A la demande du personnel de la ville de St Médard,  SUD  organise une assemblée générale se fera 
Le mardi 24 mai à 19h30 à la salle pierre mandes France.

samedi 7 mai 2011

mercredi 30 mars 2011

Actions & Solidarités

Notre santé est en danger ! Il est temps de réagir ensemble !
Manifestation 2 avril Place République Bordeaux à 14 h 30.

La santé de chacune et chacun passe par un service public de santé et des soins de qualité et de proximité avec des personnels en nombre et formés. Arrêtons la casse de la santé! Après des années d’une politique de réduction des moyens et de réformes successives, la mise en place par la loi Hôpital Patient Santé Territoire (loi BACHELOT) des Agences Régionales de Santé (ARS) accélère la privatisation de notre système de santé.
Pour le service public cela se traduit par des fermetures de services, fusions d’hôpitaux et réductions de personnels... Cela aboutit à de véritables déserts médicaux, dans les secteurs urbains comme à la campagne. La permanence des soins est menacée. Pour les malades et leurs proches, les distances augmentent, avec tous les risques et les coûts supplémentaires que cela comporte
lire la suite 

Communiqué Solidaires Fp

Le 31 mars prochain, les organisations syndicales de la Fonction Publique sont invitées à signer un protocole d’accord relatif à la « résorption de la précarité ». Pour Solidaires, le gouvernement propose un « vrai faux » plan de titularisation avec, accrochée en toile de fond, sa volonté d’ébranler la fonction Publique et son Statut.

Ce plan ne concernera qu’une minorité d’agents non titulaires, ce qui est très loin des promesses de titularisation du Président N. Sarkozy !

Aujourd’hui, plus de 872 000 contractuel-les (chiffre officiel) sont recensé-es dans les trois versants de la Fonction publique et bien qu’aucun chiffre précis n’ait été fourni, il est évident que seule une minorité d’agents sera éventuellement « éligible » à la titularisation.

Si, depuis le début des négociations, le gouvernement a, sous la pression des organisations syndicales, modifié de façon importante sa copie… même si une minorité de contractuel-les devrait voir sa situation s’améliorer et se stabiliser en tant que fonctionnaire… le compte n’y est pas !

Le gouvernement n’a aucune intention de revenir sur son « dogme » de non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant en retraite et il n’y aura, donc, aucune création d’emploi permettant la mise en place d’un plan de titularisation correspondant au nombre de contractuels exerçant actuellement des missions de service public sur des emplois permanents.

Ce seront les employeurs publics qui dresseront un état des lieux des agents susceptibles d’être titularisés, qui détermineront les corps et cadres d’emplois concernés, en fonction de leur gestion prévisionnelle des effectifs, des emplois et des compétences.

Et tout cela, malgré l’insistance de Solidaires Fonction publique, sans dispositif incitatif, sans contrainte autre que la loi ou les décrets et sans sanction financière en cas de non respect du protocole !

Solidaires reste perplexe sur la volonté de ces employeurs d’ouvrir massivement les portes de la titularisation .

Les agents, bien qu’exerçant depuis plusieurs années pour la Fonction Publique, devront passer des concours, des examens, qui bien que spécifiques, seront très sélectifs. Les lauréats de ces sélections seront nommés et affectés dans les conditions identiques à celles applicables aux lauréats des concours de droit commun. En route pour l’exode et les méandres des mutations !

Mais que deviendront celles et ceux qui auront échoué ? Que deviendront celles et ceux, qui au bout de 4 ans n’auront pas été éligibles ou promu-es ?

La porte de la titularisation sera fermée, ce qui est inadmissible pour Solidaires !

Si la transformation d’un CDD en CDI est, dans l’immédiat, un point positif pour les agents dans cette situation, pour Solidaires, nous sommes très loin, trop loin, du dispositif de titularisation car, même si le protocole prévoit l’obligation de contrats écrits, la « suppression de l’emploi » figure clairement parmi les motifs de licenciement. CDD ou CDI, le résultat sera le même lorsque l’employeur voudra se débarrasser d’un agent.

Pour Solidaires ce sera le retour à la case « précarité » et pire encore, le billet pour le « pôle emploi » !

Aujourd’hui, le recrutement direct en CDI existe déjà dans le versant de l’hospitalière, mais il va être élargi, à titre expérimental, dans le versant de l’Etat et ultérieurement étendu à la Territoriale, pour l’ensemble des catégories C, B et A, quand il n’y a pas de corps existant.

Lorsque l’on sait que les expérimentations se déroulent toujours avec succès et que très vite elles sont généralisées, il n’est pas besoin d’être devin pour dire que ce projet légalisera « l’embauche hors statut » des CDI remplaçant des fonctionnaires, là où des corps devraient être créés.

Cette manière dérogatoire d’embaucher existe déjà mais, après expérimentation, la volonté du gouvernement sera de l’installer définitivement dans le Statut. Pour Solidaires, ce recrutement direct en CDI est un élément négatif, un DANGER pour le Statut. C’est en quelque sorte, d’abord entériner l’existence dans le Statut des titulaires et des contractuels embauchés sur des emplois permanents mais c’est aussi reproduire ce qui a été fait à la Poste. C’est la preuve du désengagement de l’Etat vis à vis du service public qui annonce sous une forme déguisée l’arrêt du recrutement de fonctionnaires. Le contrat de projet a été retiré du protocole, de même que le Contrat d’activité mis en place à l’INRAP (Institut de recherches Archéologiques Préventives) est supprimé, sous la pression des organisations syndicales et notamment de Solidaires. Chassez le naturel, il revient au galop, puisqu’une réflexion sera conduite pour examiner si les règles qui régissent l’emploi contractuel sont adaptées pour : l’Enseignement supérieur, la Recherche et les fouilles archéologiques.

Sans oublier que feront parties de cette réflexion les missions exercées par le versant de la territoriale concernant la gestion des fonds européens et subventions.

Pour Solidaires, ce protocole se résume, principalement, à des recommandations, à des déclarations d’intentions, à la mise en place d’expérimentations, de missions ou d’études.

Pour Solidaires, le dispositif mis en place pour éviter la reconstitution de la précarité, s’apparente plutôt à la destruction du « Statut » actuel et de ses fondamentaux (égalité de traitement devant le concours et dans le déroulement de la carrière), sans aucune garantie que la précarité ne se reconstitue pas aussi vite.

Solidaires continuera à lutter, aux côtés des personnels, pour obtenir un véritable plan de titularisation.

Fonctionnaires et agents non titulaires doivent lutter et se mobiliser ensemble pour l’arrêt des suppressions de poste et pour exiger des créations d’emplois nécessaires aux besoins des services publics intégrant la titularisation des contractuels.

Solidaires et ses organisations membres continueront à construire les luttes et les rapports de force pour gagner la bataille de l’emploi, de la sauvegarde des services publics et de la Fonction Publique et résorber vraiment la précarité.

mardi 29 mars 2011

Précarité Cinq syndicats signeront l’accord sur les contractuels

La CGT, FO, l'Unsa, la CFTC et la CFDT vont signer, jeudi, le projet du gouvernement sur la précarité dans la fonction publique. De son côté, Solidaires dénonce un “vrai-faux plan de titularisation”. La FSU a rejeté l'accord.

“Nous signerons, mais nous ne sommes pas dupes…”
À l’image de la CFTC, les syndicats FO, CGT, Unsa et CFDT signeront, mais sans enthousiasme, jeudi 31 mars, le projet d’accord visant à réduire la précarité subie par une partie des quelque 872 000 contractuels de la fonction publique. Un projet négocié avec le gouvernement depuis début janvier.
La signature de ces cinq organisations syndicales sera suffisante pour entériner le texte.

À cette fin, le document devait, en effet, être signé par des syndicats pesant au moins 20 % des voix aux élections professionnelles et ne pas rencontrer l’opposition d’organisations ayant réuni la moitié des suffrages. Ensemble, FO, CFTC et CFDT, les premiers à avoir annoncé leur feu vert, “pesaient” déjà 36 % des voix.

Les deux premiers syndicats valideront le texte à reculons.
“Nous signerons avec beaucoup de méfiance”, indique Anne Baltazar, de FO.

“Notre signature est loin d’être un blanc-seing mais, au contraire, une contrainte et une obligation de mise en œuvre et de suivi afin que des dérives
– par le biais d’amendements de parlementaires
– ne modifient pas le contenu du texte signé au moment de sa traduction dans la loi”, prévient de son côté la CFTC.
40 000 agents titularisés au moins

Seuls Solidaires et la FSU ont annoncé leur intention de voter contre un “vrai-faux plan de titularisation avec, accrochée en toile de fond, [la] volonté [du gouvernement] d’ébranler la fonction publique et son statut”, selon Solidaires.

“On ne peut pas dire que ce soit un protocole de titularisation, insiste Jean-Michel Nathanson, le délégué fonction publique du syndicat.

C’est plutôt un protocole de « CDIsation » qui intervient dans un contexte de suppressions de postes massives de fonctionnaires.” De son côté, Bernadette Groison (FSU) a indiqué mardi à l'AFP que son syndicat ne signerait pas le texte, n'ayant “pas obtenu la majorité qualifiée”, seuls 58 % de ses membres se prononçant en faveur de la signature, alors qu'il aurait fallu 70 % de votes favorables. Mardi après-midi, la CGC n'avait toujours pas fait connaître sa position.

Selon le secrétaire d’État à la Fonction publique, Georges Tron, l’accord devrait permettre la titularisation de 40 000 à 50 000 agents et le passage en CDI de quelque 100 000 agents aujourd’hui en CDD, via des concours spécifiques.

Plusieurs fois remanié, le document ne reprend pas le “contrat de projet” (contrat attaché à une mission donnée et donc à terme incertain) et l’élargissement aux catégories B et C des possibilités de recruter des contractuels sur des emplois permanents.

Deux propositions qui avaient été rejetées par les syndicats.            vu dans:
 

mercredi 9 mars 2011

Communiqué Solidaires

Nous tenons à affirmer notre solidarité pleine et entière à la population japonaise et notamment aux salariés des centrales accidentées qui vont payer un lourd tribut à cette catastrophe allant, pour certains, jusqu’au sacrifice.

En France où le lobby pro-nucléaire est particulièrement puissant, le gouvernement se veut rassurant et son ministre de l’Industrie, Éric Besson, n’hésite pas à affirmer qu’il ne s’agit pas d’une catastrophe majeure, prolongeant ainsi une politique de communication basée sur le mensonge, la dénégation de la réalité et le manque de transparence qui a été la règle pendant la catastrophe de Tchernobyl.

Ce nouvel accident majeur démontre que le risque zéro n’existe pas en matière nucléaire, y compris en France, y compris avec l’EPR. Les petits calculs, qui consistent à comparer la faible probabilité du risque et les avantages économiques que le nucléaire est censé apporter, ne tiennent pas compte de la nature du nucléaire qui met en jeu la santé et la vie de populations entières.

Le risque d’accident augmente avec les évolutions de ces dernières années, notamment avec la libéralisation du secteur de l’Énergie qui privilégie la rentabilité, qui a conduit à une dégradation importante de la sûreté dans le nucléaire et à la précarisation des emplois.

Le risque d’accident augmente avec l’intention de prolonger de 10 ans l’exploitation de Fessenheim, la plus ancienne centrale. Cette autorisation doit (devait ?) être donnée en avril de cette année.

Le risque d’accident augmente dans les centrales anciennes, comme le montre l’exemple du Japon. En France, 21 réacteurs de 900 MW ont été mis en service il y a plus de 30 ans. Ils assurent le quart de la production d’électricité et la tentation sera grande de les prolonger encore, malgré l’augmentation des risques.

Solidaires n’a cessé d’alerter sur les risques associés à l’industrie nucléaire qui ne sait pas que faire de ses déchets, qui permet la prolifération nucléaire, qui soumet au risque les populations et la santé des travailleurs dans les centrales particulièrement les personnels sous-traitants…

L’avenir ne peut reposer que sur une société économe, visant les économies d’énergie, développant en priorité la part de production d’électricité à base d’énergies renouvelables, cessant le plus rapidement possible d’utiliser les énergies fossiles et préparant une sortie progressive du nucléaire, la plus rapide possible. Le lobby nucléaire et le gouvernement ne changeront pas facilement de politique énergétique. Une forte mobilisation populaire s’impose. Solidaires soutient l’appel aux manifestations qui auront lieu dans toute la France dimanche 20 mars à 15h, notamment à Paris devant l’Assemblée nationale.

vendredi 4 mars 2011

vendredi 18 février 2011

mardi 1 février 2011

CoTeSUD ,section Saint Médard en Jalles, la suite.....

Après la distribution d'un tract SUD sur la marché de Saint Médard en Jalles, En guise de réponse le Maire a diffusé à tous ces agents le courrier suivant :

dimanche 30 janvier 2011

« Le Hérisson » continue de se déchaîner

Le syndicat SUD a adressé une lettre ouverte à Philippe Madrelle, hier.


Comme nous l'avions indiqué dans un article de notre édition du 21 janvier dernier, « Le Hérisson déchaîné », journal interne syndical du Conseil général, édité par SUD, est assigné en justice par le Département pour « injures publiques ». À l'origine, de cette assignation, la publication dans le journal d'un mail envoyé par Pascal Madec, l'ancien directeur chargé des collèges, reproduit dans son contexte, où il préconisait des critères de recrutement de personnels en contrats aidés. « Des propos discriminatoires où les candidats ne devaient pas par exemple avoir dépassé la quarantaine », expliquent les syndicalistes.

Le syndicat SUD a donc décidé de poursuivre son bras de fer en envoyant une lettre ouverte au président du Conseil général. Hier, ce courrier a été distribué sous forme de tracts aux salariés du département. Dans ce document, SUD pointe du doigt des « méthodes de recrutement discriminatoires », déjà dénoncées dans l'article du « Hérisson déchaîné », d'octobre dernier. Et il remet en doute les déclarations faites par Gérard Marty, directeur général des services à « Sud Ouest », la semaine dernière. « Nous n'avons pas dérobé le mail de Pascal Madec, c'est un sympathisant qui, trouvant ses propos inacceptables, nous a faxés son courriel au local. » Philippe Madrelle n'a pas souhaité répondre à nos questions. « Il répondra à ses agents dans une lettre ouverte, probablement ces jours-ci », indiquait-on hier soir, au Département.

Saint Médard en Jalles Janvier 2011











dimanche 23 janvier 2011

"Herisson" le canard qui pique d'aprés Sud-Ouest

«Le Hérisson déchaîné », journal interne syndical du Conseil général, édité par SUD, vient d'être assigné en justice par le Département pour « injures publiques ». Un article, paru dans le numéro d'octobre 2010, a mis le feu aux poudres et déclenché le début d'une procédure. Il restitue un mail dans son contexte, commenté par le syndicat, envoyé en février 2010 par Pascal Madec, à l'époque directeur chargé des collèges au Conseil général
Au fil de ce courriel, le fonctionnaire donne des conseils à ses équipes afin de recruter des agents techniques territoriaux des établissements d'enseignement « remplaçants », des emplois précaires.

On peut par exemple y lire :

« Je suggère un jury avec 20 candidatures,
pour faire un sur deux »
(NDLR : pour ne garder que 10 embauches au final).
Plus étonnant, encore, sur les candidats à sélectionner :

La suite sur le site WWW.CoTeSUD33.Org :  ici 

 

Que deviennent les valeurs d'un syndicaliste CGT après être élu...

Il y a vraiment un malaise dans cette commune.
D'où viennent les problèmes.....
Que fait " la police"......
Pleins de questions restent en suspend

Un grand jour ce prépare dans cette collectivité.
SUD est là pour les agents et beaucoup de dossiers sont en cours de traitement.
Va t'il attendre que cette situation explose et que des dégâts irréversibles se produisent sur les agents.
A suivre.





















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vendredi 21 janvier 2011

mercredi 19 janvier 2011

jeudi 6 janvier 2011

décret publié le 31 décembre 2010 => possibilité d’un départ anticipé

A tous les camarades né(e)s avant 1961,un décret publié le 31 décembre 2010 vous permet peut être d’avoir la
possibilité d’un départ anticipé.Voici pour vous aider,le décret décortiqué et la fiche technique.

voir la documentation

Sources :  SOLIDAIRES

samedi 1 janvier 2011